Ne les laissons pas définir nos vies

Jerome camion

Jerome camionLundi 16 Novembre, plus que jamais Paris sera le centre de la France.

Paris sera le centre de la médecine, le centre de notre lutte.
Vous ne pouvez être absents.

Nous attaquerons le quatrième jour d’arrêt d’activité et, c’est là, nous le savons, que l’impact de notre mouvement sera décisif.

TENEZ BON, TENEZ AVEC NOUS, AVEC L’UFML

Je vous veux à mes côtés devant l’Assemblée Nationale, à quelques dizaines de mètres de là, une poignée de femmes et d’hommes ont décidé que notre liberté de pratique, notre indépendance, devait disparaitre ! Une poignée de femmes et d’hommes ont décidé de la fin de nos valeurs.
Je vous veux avec moi, pour leur montrer que nous ne laisserons pas briser l’ADN de la médecine de France.
Je vous attends, avec les responsables de l’UFML, avec tous ceux qui font ce mouvement, médecins et libres.

Beaucoup d’entre vous reconnaissent le travail de l’UFML, ce travail n’est rien sans vous, sans vous tous.
Vous ne devez pas, vous ne pouvez pas rester chez vous.

Rien n’est plus important, le 16 Novembre nous devons montrer la force de l’indépendance, la force de l’humain, la force de notre devoir de liberté.
Votre présence sera plus qu’un message envoyé à tous ceux (y compris certains responsables syndicaux) qui misent sur l’échec de ce rassemblement, ce sera un uppercut qui les mettra à terre !

Se lever, ne pas fuir, ne pas accepter, convaincre, résister encore et toujours, se battre, tel est notre crédo, telle est la volonté qui nous anime.

Nous le faisons à l’UFML parce que nous savons vos vies, nous savons vos engagements, vos souffrances, vos espoirs, vos responsabilités.

Nous savons les insultes subies, le mépris, les mensonges, les manipulations.

Nous savons les comportements indignes de responsables qui vous font la violence de vous voir non comme vous êtes, mais comme ils voudraient que vous soyez !

Nous savons ce que vous êtes qui que vous soyez, quelle que soit votre fonction de soignant et si parfois l’épuisement peut nous atteindre, il suffit de regarder vers vous, et vers l’avenir noir de la loi Touraine pour que s’efface toute fatigue.

Une fois de plus,  je vous l’écris : à tous, nous sommes à quelques heures d’un combat qui peut être décisif.

Un combat qui doit être à la dimension de ce qu’a fait l’UFML, de ce que nous avons fait, ensemble.

Le 16 novembre, nous devons nous voir, je veux vous voir, vous sentir à mes côtés, à nos côtés !
Faites l’effort, pour vous, pour nous, pour notre passé, pour notre avenir, pour ceux qui suivront.

Demain est un autre jour, à nous de le construire

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